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Mille (et une) lectures
21 octobre 2011

Inscriptions ouvertes pour devenir juré(e) pour le Livre de Poche

 

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et c'est ici

J'ai tenté ma chance, évidemment !
Je suis peu présente en ce moment mais je me rattrape bientôt avec 2 billets en partenariat, entre autres.

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8 septembre 2011

Encore une envie !

 

J'ai failli tomber en transe quand j'ai vu que ce roman noir était enfin publié en France :

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4e de couverture : "Signé le 10 avril 1998, l’Accord de Paix pour l’Irlande du Nord a mis un terme à des années de guerre sanglante. En 2007, Belfast est une ville où se presse une foule d’étudiants et de jeunes cadres, et où ont fleuri bars branchés et boutiques de luxe. Pourtant, les anciennes haines n’ont pas disparu. Entre les anciens militants toujours attachés à leur cause, les activistes reconvertis en politiciens présentables et les gangsters qui prospèrent, le pays cherche son identité.
Gerry Fegan, lui, se débat avec ses démons personnels. Depuis qu’il est sorti de la prison de Maze, cet ex-tueur de l’IRA est devenu alcoolique. Il est hanté par les fantômes des douze personnes qu’il a délibérément assassinées et ne connaît plus le repos. Le seul moyen de se débarrasser de ces ombres qui assaillent sa conscience sera d’exécuter un par un les commanditaires des meurtres. Mais les nouveaux cadavres que laisse Gerry Fegan sur son passage menacent le précaire équilibre du processus de paix. Une chasse à l’homme commence sur fond de paranoïa et de duplicité, jusqu’à un final explosif.

Avec Les Fantômes de Belfast, Stuart Neville, révélation du roman noir irlandais, signe un thriller où dominent la tension et l’effroi, servi par une écriture tranchante. Il a su donner à son personnage principal un caractère ambigu et profondément tragique. Entre remords et désir de vengeance, Fegan, qui aspire à la rédemption, incarne les contradictions d’un territoire en quête d’identité, où le feu semble toujours couver. "

Je l'ai demandé via la Masse Critique de Babelio. Je croise les doigts, mais de toute façon je le VEUX !!

27 août 2011

Mes envies littéraires de rentrée

Mon chouchou suédois pour la fin des aventures de Malin :

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"Un beau matin de printemps, une bombe explose en plein centre de Linköping, tuant deux fillettes et blessant grièvement leur mère, Hanna Vigerö. C’est l’affolement en ville. Pour les enquêteurs, les pistes sont multiples et l’investigation piétine. Malin Fors, elle, sent qu’il s’agit d’une affaire personnelle. Et si l’attentat avait en fait visé la famille Vigerö ? Malin essaie d’avancer dans son enquête aux côtés de Zeke, malgré les bouleversements qu’elle vit : elle enterre sa mère, son père est de retour et elle découvre enfin le sombre secret que lui cachaient ses parents depuis toutes ces années..." (sortie le 8 septembre)

Notez que Hiver sort en poche !

Et aussi mon chouchou irlandais qui n'avait pas publié en France depuis un moment :

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 "Elle était pauvre, irrévérencieuse, sensuelle, très belle et rebelle à toute autorité, sauf à celle du génie et de l’amour. Elle s’appelait Molly Allgood, elle fut une comédienne célèbre et elle eut pour amant l’un des plus fameux dramaturges irlandais, John Millington Synge. C’était en 1907. Elle avait dix-neuf ans, il en avait trente-sept. Il fut son Pygmalion, elle sa muse. Ils vécurent une passion sans borne. Mais leur différence sociale et religieuse, les conventions et l’austérité de la famille Synge, leurs amis même, tout et tous s’y opposèrent. Jamais ils ne purent se marier et Molly Allgood rompit avec l’homme de sa vie qui mourut peu après, en 1909, rongé par le bacille de Koch. Quarante-cinq ans plus tard, on retrouve l’ancienne actrice, réduite à la misère et hantant les rues de Londres par un matin brumeux. Peu à peu, les souvenirs resurgissent, comme l’amour et le désir pour ce Vagabond qui ne l’aura jamais quittée… De tous les romans de Joseph O’Connor, Muse est sûrement le plus grand, en tout cas le plus intense. À chaque page, le lecteur est ébloui, bouleversé. Voilà un livre forgé de lumière et d’airain."  (sortie demain 25 août !)

Envies raisonnables :) !
Edit du 27/08 : ca y est, j'ai mon O'Connor :-)

 

EDIT DU 27/08 : Je viens de découvrir que Sorj Chalandon, l'auteur de Mon traitre, publie la suite de ce roman auto-biographique, celui où il donne sa plume au traitre : 

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Ca va sans dire que je le veux aussi !!! 

 

11 juin 2011

A gagner chez Babelio !

10 exemplaires de ce polar :

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4e de couverture : "Jack et Melissa sont les parents adoptifs d’une jolie petite fille de neuf mois, Angelina. Alors que cette famille idyllique semble nager dans le bonheur, ils apprennent que l’organisme qui s’est chargé de l’adoption ne s’est pas assuré que le père naturel de l’enfant avait signé une renonciation à la paternité. Garrett Moreland, le jeune père de 19 ans, fils d’un juge influent et bon-à-rien notoire, réclame à présent son enfant. La loi est contre Jack et Melissa, mais ils comptent sur le coeur du juge pour entendre leur supplique : ne pas être séparés de leur fille. Qui pourrait avoir le coeur assez dur pour leur arracher cet enfant ? Malheureusement le juge Moreland et son fils Garrett semblent être mus par d’autres desseins que le simple fait de recomposer une famille ou de retrouver leur descendance. Le juge donne trois semaines à Melissa et Jack pour se préparer à perdre Angelina. Ces trois semaines-là, Jack et Melissa vont les passer à chercher la faille dans l’armure du juge, avec l’appui d’un ami flic : une faille d’abord fragile, insaisissable, mais prend peu à peu les contours d’un personnage abject, bien caché derrière sa figure d’homme respectable. C’est le début d’une descente aux enfers, et personne ne sait jusqu’où il peut tomber…"

A vous de jouer, et c'est ici en vous connectant à votre compte.

28 mai 2011

Les vainqueurs du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2011

Les résultats ont été proclamés jeudi soir et les vainqueurs sont :

Catégorie roman : La couleur des sentiments de Kathryn Stockett (une évidence avec un roman pareil !)

Catégorie roman policier : La maison d'à côté de Lisa Gardner (il fait partie des rares livres que je n'ai pas aimés du tout ;-)) .

Catégorie documentaire : il y a 2 vainqueurs, ex-aequo : Algérie 1954-1962 de Benjamin Stora et Nos étoiles ont filé d'Anne-Marie Revol.

Pour avoir un aperçu de la soirée, rendez-vous chez Ankya qui a fait un joli reportage.

Et voici aussi une vidéo de  ELLE avec le témoignage de 3 jurées et l'interview de 2 des finalistes.

 http://www.elle.fr/Loisirs/Videos-Loisirs/Livres/VIDEO-Grand-Prix-des-lectrices-2011-le-verdict-des-jurees-et-la-rencontre-avec-les-auteurs

Enfin, d'après le magazine, dans la catégorie roman, arrive en 2e position : Rosa Candida  suivi de Ru de Kim Thuy ;
dans la catégorie roman policier c'est 13 heures de Deon Meyer (super polar sud-africain), suivi de Silence radio du Canadien Robert Rotenberg (je confirme, à découvrir!). Enfin, dans la catégorie documentaire, 2e position pour Just Kids de Patti Smith.

 

 

 

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24 mai 2011

Mon classement Grand Prix des Lectrices de ELLE 2011

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Les résultats officiels du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2011 seront proclamés jeudi prochain. En attendant, je vous propose mon classement personnel, établi d'après les notes que j'ai attribuées à chacun des livres :

Catégorie ROMAN :
1. La couleur des sentiments
2. Rosa Candida
3. Six mois six jours
4. Blues pour Elise
5.
6. L'Indésirable ex aequo avec Les Derniers jours de Stefan Sweig ex aequo avec Les vies extraordinaires d'Eugène
7. En un monde parfait
8. Les femmes du braconnier

Catégorie ROMAN POLICIER :
1. Le cri de l'engoulevent
2. Rupture ex aequo avec Verdict
3. Silence Radio ex aequo avec 13 heures
4. Les enfants de la nuit
5. Haine
6. La maison d'à côté

Catégorie DOCUMENTAIRE :
1. Algérie 1954-1962 ex aequo avec Les Disparues de Vancouver ex aequo avec Mémoires à contre-vent
2. Nos étoiles ont filé ex aequo avec Même le silence a une fin, ex aequo avec Failles
3. Just Kids
4. La moitié du ciel
5. Le philosophe nu.

Chacun de ces livres a été chroniqué sur ce blog.

 




 


 

 

 

21 avril 2011

Mon blog devrait être traduit en plusieurs langues !

Lisabuzz.com parle de Mille et une lectures : Nous autres français sommes bien égoïstes. Lorsqu un pays dispose d un blog comme Mille et une lectures, il devrait le traduire en anglais, italien, espagnol, japonnais, chinois etc... que le reste du monde en profite. D ailleurs, Maeve mérite un auditoire bien plus large que 60 millions d internautes (plus quelques belges, suisses, quebecois). En tous cas, j adore Mille et une lectures et je suis loin d être seule ! signé http://blog.lisabuzz.com

Merci à George pour le réveil joyeux  ;-) !

 

 

13 avril 2011

Poches en stock

 Dernièrement acquis en traînant dans les librairies.....

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Le fameux David Foenkinos dont tout le monde parle tant : La délicatesse, que j'ai longtemps regardé de biais;
le non moins fameux Cercle des amateurs d'épluchures de patates;
un petit polar de l'Irlandaise Alex Barclay, dont le tout premier m'avait plu;
un roman suédois, La fille américaine, dont la 4e de couverture m'a attirée;
enfin, ma chouchoute écossaise en matière de thriller intelligent, Val McDermid, pour le 3e opus des aventures de Tony Hill et Carol Jordan (mais je suis à la bourre dans leurs aventures, car le 5e vient de sortir en poche, Sous les mains sanglantes, donc faut que je carbure !), d'autant que vient de paraître en même temps :

 

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Et là je dis wanted !! Ca a l'air génial...

 Val McDermid est d'ailleurs de passage à Paris la semaine prochaine pour parler de son dernier roman et dédicacer (du moins je suppose). Welcome Val !

6 mars 2011

Il est sorti !

Enfin, depuis le temps que j'attendais ça, vient de paraître Automne de mon chouchou suédois Mons Kallentoft

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4e de couverture : "Jerry Petersson est un riche avocat parvenu. Tout le monde le déteste. Aussi, quand on retrouve son cadavre dans les douves du château qu'il vient d'acheter, personne n'est étonné. Malin mène l'enquête, qui l'amène sur l'île de Ténérife. Un dépaysement dont elle a bien besoin. Rien ne va plus chez elle. C'est l'automne à Linkôping. Il pleut, le temps est maussade et froid. Malin, maintenant bien connue du public français, est toujours aussi fragile. Elle devra affronter ses vieux démons et sa solitude pour se lancer aux trousses du tueur."

Après Hiver et Eté que je vous recommande chaudement, je vais me jeter sur celui-là ! Par ailleurs le magazine LIRE consacre un numéro spécial aux écrivains nordiques. Mais il a commis l'erreur fatale d'oublier Mons. Impardonnable !

8 février 2011

Rentrée littéraire irlandaise

Il pleut des livres d'écrivains irlandais sur la France en ce moment, et pas n'importe qui : mes chouchoux, mes préférés, ceux que j'admire et qui m'ont toujours fait passé de bons moments :

Nuala O'Faolain, que j'adore, disparue prématurément en mai 2008 (dont j'ai dévoré tous les récits, autobiographies et romans), était à l'origine aussi une grande journaliste, très populaire en Irlande. Son éditeur français, à l'instar de l'éditeur irlandais, a eu la bonne idée de rassembler ses écrits journalistiques :

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4e de couverture : "Nuala O’Faolain, avant de devenir l’écrivain qu’on connaît, a d’abord été une grande journaliste. Et c’est grâce à son métier de journaliste qu’elle a été amenée à écrire son premier livre, On s’est déjà vu quelque part ?, paru en France en 2002 : un éditeur irlandais avait eu l’idée de lui demander de rassembler ses chroniques, parues dans le Irish Times. Nuala avait accepté, à la condition de pouvoir écrire en préface un récit autobiographique. Les chroniques ont bien paru, à Dublin en 1996, avec ladite préface, en fait un essai de plus de trois cents pages. Très vite réédité sans les chroniques, le récit, sous-titré Les Mémoires accidentels d’une femme de Dublin, a remporté en Irlande puis aux États-Unis un succès phénoménal. Alors que le public irlandais garde vive la mémoire des chroniques, des articles et des émissions de Nuala O’Faolain, féministe de la première heure, spectatrice attentive et fine analyste du monde qui l’entourait, les lecteurs français ne connaissent « que » ses romans et ses mémoires. Ses écrits journalistiques n’avaient pas encore été traduits. Dans la sélection publiée aujourd’hui, englobant plus de vingt années de carrière, de 1986 à 2008, se retrouvent tout entiers la sensibilité, la faculté d’empathie et le talent d’observation de la grande dame irlandaise disparue. Traitant des sujets les plus divers, des plus politiques comme le processus de paix en Irlande aux plus futiles, comme les travaux ménagers, en passant par U2, Sinatra, le matérialisme ou la condition féminine, Nuala O’Faolain ne baisse jamais la garde : elle ne cesse de dénoncer, avec la précision teintée d’ironie qui lui était propre, les mécanismes intimes du pouvoir et de l’impuissance. Ceux qui ont lu ses romans auront l’émouvant sentiment de la retrouver telle qu’en elle-même dans sa lucidité et sa tendresse pour le monde. Ils découvriront l’étendue des centres d’intérêt et la richesse de la palette narrative de celle qui fut aussi un grand témoin et une grande conscience de son époque."

Puis, le 10 février prochain, paraît le 2e volume des aventures de Quirke, personnage imaginé par John Banville qui écrit ici sous le pseudonyme de Benjamin Black : Le cygne d'argent, la double vie de Laura Swan. J'avais littéralement dévoré le tome 1, Les Disparus de Dublin.

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4e de couverture : "Depuis sa précédente enquête (Les Disparus de Dublin), Quirke a perdu Sarah, l'amour de sa vie, son père est mourant, il est quasiment brouillé avec Phoebe, sa fille unique. Et il a arrêté de boire. Pour le reste, il est toujours aussi maladroit et bourru, coincé dans son énorme carcasse de grand dur au coeur (presque) tendre. Et cette fois encore, les ennuis vont lui tomber dessus sans qu'il les ait cherchés. Alors qu'il travaille dans son antre, à la morgue du Holy Family Hospital, Billy Hunt, un vieux copain de fac (pas si copain que ça, en réalité), le contacte, éploré : Deirdre, sa femme, s'est jetée du haut d'une falaise dans la baie de Dublin. Et Hunt supplie Quirke de ne pas pratiquer d'autopsie : imaginer sa ravissante épouse découpée en morceaux lui fend le coeur. Evidemment, Quirke est obligé de pratiquer cette autopsie, durant laquelle il découvre que la jeune femme n'est pas du tout morte noyée (elle n'a pas d'eau dans les poumons), mais d'une overdose de morphine... Pourtant, le légiste va laisser classer l'affaire comme un suicide. En restera-t-il là pour autant ? Bien sûr que non. D'abord parce que, commençant à fureter dans le passé de la victime, Quirke découvre qu'elle avait une double vie, une double identité, entourée de personnages aussi troubles que les circonstances de sa mort. Ensuite parce que Phoebe en vient à être impliquée dans l'affaire. Impliquée et probablement en danger...L'enquête de Quirke alterne avec le récit du passé de Deirdre et plonge le lecteur dans un Dublin des années 1950 envoûtant, l'entraînant dans une intrigue digne des meilleurs films noirs américains. Et puis il y a les liens, sombres et complexes, entre les personnages, leurs conflits irrésolus, leurs zones d'ombre, leurs désirs refoulés... Et là, Banville/Black s'impose comme un véritable maître du polar d'atmosphère."

Le même John Banville publie le même jour :

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4e de couverture : "Adam Godley, un brillant mathématicien, spécialiste de l’infinité des infinis, et de la possibilité d’univers parallèles, repose dans sa chambre, au seuil de la mort, plongé dans le coma. Autour de lui, dans une maison à l’atmosphère oppressante, le veillent sa deuxième épouse, alcoolique, sa fille, une adolescente fragile et perturbée, son fils, accompagné de sa femme, Helen, une comédienne à la beauté troublante. En un jour, en un lieu, ce monde mortel et imparfait va recevoir la visite invisible des dieux de l’Olympe, des dieux à l’esprit facétieux, qui vont se plaire à prendre la place des humains pour satisfaire leurs désirs illicites. Zeus, follement épris d’Helen, se fera passer le temps d’une nuit pour son mari afin de jouir de ses charmes. Puis en prenant l’apparence de Rody, le fiancé de la fille d’Adam, il poursuivra son oeuvre de séduction. Hermès, le fils de Zeus, est le narrateur espiègle de cette tragicomédie ensorcelante, qui évoque le Songe d’une nuit d’été, en illustrant la folie de l’amour et des actes qu’il peut nous pousser à commettre. Hermès se déguisera lui-même en fermier pour conquérir l’une des servantes, sans se soucier des conséquences. Ainsi la présence des dieux va bientôt faire exploser les tensions jusque-là silencieuses, exaspérer les drames, tandis qu’Adam, toujours mourant, revit dans son esprit le souvenir de ses années passées. En s’inspirant de l’Amphitryon de Kleist, Banville mêle les genres avec virtuosité, dans une langue iridescente et poétique. Le texte oscille constamment entre gravité et ironie. Le réel et le merveilleux se répondent, donnent une profondeur envoûtante au récit. En mêlant des questions métaphysiques et humaines, Banville ne cesse d’interroger le sens de notre existence, son mystère et sa beauté."

En mars, ce sera aussi le tour de Hugo Hamilton (l'auteur de Sang impur, Le Marin de Dublin, Déjanté, Triste flic...) :

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4e de couverture : "Vid Cosic est un jeune Serbe de Belgrade, charpentier de métier, venu chercher un travail à Dublin. Dès son arrivée en Irlande il noue une amitié, très alcoolisée, avec un avocat, Kevin Concannon, à qui tout semble réussir, mais qui est résolu à taire le chaos familial dans lequel s’est déroulée son enfance. Immigré doué pour l’espoir, un peu naïf, Vid Cosic croît en l’avenir de l’espèce humaine et ne songe qu’à faire le bien autour de lui. Cette amitié représente pour lui une chance d’appartenir à un nouveau peuple, mais elle sera la source de mille catastrophes, bagarre avec un électricien raciste, incendie de l’entrepôt où Vid travaille, colère plus qu’agressive de Kevin quand il apprend que Vid tente de le rapprocher de son père, un violent notoire. Décidément la bonté et l’altruisme, quand c’est Vid qui les pratique, n’ont pour écho que haine et vengeance".

Je me dis qu'avec un peu de chance, il y aura bientôt un nouveau livre de Joseph O'Connor, Sebastian Barry ou Roddy Doyle... Mais là déjà, c'est intenable, je veux les lire tous !

Les disparus de Dublin est paru au format poche.

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Edit du 9 février :

J'allais oublier d'ajouter un livre qui m'a tout l'air d'être majeur d'après ce qu'en disent les critiques Celui de Colm Toibin (jamais lu jusqu'à présent mais j'ai ce livre dans ma PAL ):

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4e de couverture : "Enniscorthy, sud-est de l’Irlande, années 50. Comme de nombreux jeunes de sa génération, Eilis Lacey, diplôme de comptabilité en poche, ne parvient pas à trouver du travail. Par l’entremise d’un prêtre, sa soeur Rose obtient pour elle un emploi aux Etats-Unis. En poussant sa jeune soeur à partir, Rose se sacrifie : elle sera seule désormais pour s’occuper de leur mère veuve et aura peu de chance de se marier. Terrorisée à l’idée de quitter le cocon familial, mais contrainte de se plier à la décision de Rose, Eilis quitte l’Irlande. A Brooklyn, elle loue une chambre dans une pension de famille irlandaise et commence son existence américaine sous la surveillance insistante de la logeuse et des autres locataires. Au début, le mal du pays la submerge, la laissant triste et solitaire. Puis, peu à peu, elle s’attache à la nouveauté de son existence. A son travail de vendeuse dans un grand magasin où les premières clientes noires font une apparition timide qui scandalise les âmes bien-pensantes, sauf Eilis, qui, dans sa petite ville d’origine, n’a jamais connu le racisme. Au bal du vendredi à la paroisse du quartier. Aux cours du soir grâce auxquels elle se perfectionne en comptabilité. Dans ce rythme entre monotonie rassurante et nouveautés excitantes, Eilis trouve une sorte de liberté assez proche du bonheur. Et quand Tony, un Italien tendre, sérieux et très amoureux, entre dans sa vie, elle est convaincue que son avenir est tout tracé : elle deviendra américaine. Mais un drame familial l’oblige à retraverser l’Atlantique pour un séjour de quelques semaines en Irlande. Au pays, Eilis est devenue une femme à la mode, désirable, parée du charme des exilées. Brooklyn, Tony, la vie américaine se voilent de l’irréalité des rêves. Un nouvel avenir l’attend dans la bourgade de son enfance : un homme prêt à l’épouser, un travail. Deux pays, deux emplois, deux amours. Les possibilités inconciliables déferlent sur Eilis, lui infligeant cette petite mort que suppose l’impératif des choix. "

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